jeudi 24 mai 2012
Kaputt
Page 44 de la mise en couleurs. Il y a quelques mois, j'ai noté ceci dans mon carnet:"... l'orage menaçait l'horizon, comme un énorme poumon noir respirant à grand-peine, dont les lueurs électriques illuminaient par intermittence les ramifications des veines et des bronches." J'espère que mes notes sont fidèles au texte original. C'est tiré de "Kaputt", de Curzio Malaparte.
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Superbe !
RépondreSupprimerEt fidèle oui !
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