Ces temps, je ne fais que ça, plusieurs heures par jour, parfois j'y retourne le soir et le week-end, je ne pense qu'à ça, je ne vois que ça, pages très grandes donc rythme trop lent, cases complexes, je fume, je fulmine, je crache, je déchire, je redessine, je scotche, tout autour de moi est prétexte à être intégré dans l'histoire, chaque anecdote ou rencontre devient un ferment, j'ai la tête dans le guidon, j'ai mal aux doigts et aux yeux, et mon bureau est un vrai foutoir. Heureusement, c'est encore un plaisir.
Heureusement oui !
RépondreSupprimerC'est beau cette lutte dans la création. :)
RépondreSupprimerEt moi qui pensait que vous disposiez d'une immense table dans une superbe pièce bien éclairée. :)
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