J'ai toujours de la peine à gérer les différentes temporalités d'une narration éclatée, avec de multiples flashes-back, et des flashes-back dans des flashes-back. Je déteste l'idée de me perdre dans mes propres circonvolutions. Alors je fais de multiples petits schémas sur des coins de pages, que j'égare, que je refais, que je modifie, que je vérifie, avec la même boule au ventre que lors de mes vieux examens de mathématiques.
En attendant, 47 planches colorisées...
Héhé ça doit être bien galère à gérer effectivement.
RépondreSupprimerEn tout cas, je remarque que dès que ça parle de math, il n'y a plus de commentaires ;)
Sinon ça me rappel (sur un registre un peu différent) un article très intéressant sur Bourgeon et sa série Les Compagnons Du Crépuscules, pour laquelle il avait fait une maquette du château présent dans le 1er tome.
Si je me souviens bien, c'était notamment pour avoir un rendu très exact des lumière au cours du temps... Un travail de fou quand on voyait les photos de la maquette... Ceci dit je crois qu'il adore ça car il a fait ce genre de chose pour la plupart de ses grandes séries.
Éh bien félicitations pour votre travail et votre acharnement, parce qu'à mes yeux, ce dispositif narratif à la fois complexe et très fluide, très simple à suivre pour le lecteur est un des points forts de votre récit (suite à la lecture des 2 tomes d'Aâma).
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